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Auteur/autrice : webm@ster

L’intralogistique au service de la performance

Le 17 octobre dernier, la commission Intralogistique a organisé, en partenariat avec le Grand Paris Sud, une journée de partage des meilleures pratiques en matière d’intralogistique.

La matinée a été ponctuée de conférences de divers intervenants :

  • Isabelle HAUTANT, Directrice et Pierre VEYER, Manager chez Argon Consulting
  • Vincent RICCI, Business Development Director, Supply Chain France, XPO Logistics
  • Justine BAIN-THOUVEREZ, avocate spécialisée en droit de l’énergie pour LLC Avocats & Associés
  • Franck LAMAS, Directeur R&D bâtiments logistiques au groupe IDEC

Les échanges se sont poursuivis l’après-midi par deux visites de sites : Sarenza et Showroom Privé.


L’automatisation,
au service du e-commerce

L’intralogistique est au cœur du développement du e-commerce. Les activités de picking pour des commandes individuelles sont beaucoup plus complexes que pour les commandes traditionnelles à la palette. L’automatisation influe tout particulièrement sur l’atteinte des performances.

L’augmentation capitalistique qui accompagne les projets d’automatisation conduisent à automatiser avec discernement, en sélectionnant les activités à fort enjeux sans chercher à tout automatiser. En particulier, la robotisation est appropriée pour les activités de picking et de préparation de commande en e-commerce, alors que les technologies traditionnelles sont souvent appropriées pour la logistique B2B traditionnelle (ie par palette).

Sponsorship, réalisme, implication des différents acteurs sont autant de facteurs essentiels à des projets complexes : projet d’entreprise, acteurs alignés, convictions partagées.

Un mini sondage proposé aux participants a mis en évidence les préoccupations usuellement rencontrées lors des projets d’investissement :

Qu’est-ce qui vous freine aujourd’hui pour lancer un projet de mécanisation ?


4 fondamentaux
pour une bonne implantation

Lors de sa présentation, Vincent Ricci a partagé 4 principes fondamentaux pour automatiser son entrepôt :

  • Être obsédé par la satisfaction client
  • Trouver du temps et de l’argent pour accéder aux nouvelles technologies
  • Maîtriser les data
  • Opérer les innovations

Satisfaction client

De nombreuses contraintes pèsent sur la Supply Chain pour répondre aux besoins clients, que ce soit B2B ou B2C :

Nouvelles technologies

Pour une entreprise logistique comme XPO, l’investissement dans les solutions technologiques représente 550 M$/an – ce qui reste bien moins que les investissements dans l’IT réalisés par les pure players.

La combinaison d’outils de gestion des transports (TMS) et d’entrepôts (WMS) est un must.

Utiliser la data

Les données ont un rôle central dans l’automatisation et l’optimisation des ressources, comme par exemple la captation des données via des IoT ou par l’intégration avec divers systèmes amont, combiner des données pour mieux prévoir la demande et saturer au mieux les capacités, faciliter les interactions avec les collaborateurs (mobiles) ou les robots pour bénéficier au mieux des automatismes.

Innovations

Les principales innovations portent sur des domaines tels que l’usine 4.0, les logiciels de gestion de commande, l’optimisation environnementale des emballages, automatisation des entrepôts… Il est également judicieux de faire appel à des 3PL qui ont la capacité de réaliser et rentabiliser les investissements nécessaires dans les technologies.

Avec ces solutions se profilent par exemple la réinternalisation des activités textiles à faible taux de MO, qui permettront la réalisation de petites productions au plus près pour optimiser les enjeux environnementaux.


Intégrer
la performance énergétique

Selon Franck Lamas, la performance énergétique est de plus en plus inscrite dans les entreprises, notamment avec la réglementation RT 2012-2020.

En revanche, les bâtiments vont être amené à consommer davantage, sous la contrainte du recours à l’automatisation, des recharges de véhicules électriques, de l’amélioration du confort du personnel avec des bâtiments plus éclairés, plus chauffés…

La réduction durable des consommations passe donc par un changement de politique énergétique. Les solutions performantes et durables existent, aux entreprises de mettre la performance énergétique au cœur de leurs préoccupations.

En termes d’énergies renouvelables, le photovoltaïque est très adapté aux entrepôts frigorifiques, avec un ROI même dans les régions peu ensoleillées. Cette technologie est appuyée par de nouvelles règlementations qui conduisent les entreprises à équiper leurs bâtiments de dispositifs photovoltaïques ou de toitures végétalisés. L’obligation est déjà en vigueur pour les nouvelles constructions supérieures à 1 000m²

Le chauffage représente une part croissante de la consommation des bâtiments, avec des technologies qui n’ont pas progressées depuis de nombreuses années. La géothermie est une solution très performante pour le chauffage des entrepôts avec en moyenne une diminution de 60% des consommations.

Mettre en lumière l’IA appliquée à la supply chain

Dans un monde toujours plus complexe, l’IA permet de produire des analyses et des projections suffisamment fines pour accompagner les organisations dans leur quête d’agilité. Retour sur les bases de la technologie et ses atouts pour la supply chain.

Prévision des ventes, gestion des stocks, planification, ordonnancement… Comment anticiper les fonctions vitales de la supply chain dans un environnement instable et face à une demande qui devient volatile ? Parmi les réponses apportées figurent l’intelligence artificielle et ses branches les plus connues, le machine learning et le deep learning. Mais comment fonctionnent-elles ? Quels cas d’usages peut-on dégager ? Et quelles entreprises existent sur le marché pour servir ces besoins ? Pour répondre à ces vastes interrogations, quatre experts du secteur se sont succédés le 30 septembre dernier lors d’un webinar organisé conjointement par le Lab Digital de France Supply Chain et le cabinet Wavestone.


Démystifier l’intelligence artificielle
et comprendre la donnée

Pour démystifier le sujet, il faut d’abord le comprendre. Alors, qu’est-ce que l’IA ? Selon Ghislain de Pierrefeu, partner en charge du Machine Learning Data Lab chez Wavestone, il s’agit des capacités d’une machine à effectuer des tâches intellectuelles complexes auparavant spécifiques à l’Homme. Le machine learning, application de l’IA, donne quant à lui la capacité aux systèmes informatiques à prendre des décisions à partir de données apprises. Le deep learning dispose, lui, de la faculté à imiter le fonctionnement du cerveau humain dans le traitement des données et la création de modèles. Ce trio s’imbrique avec les domaines de la data science et du Big Data Analytics. Une fois ces notions intégrées, pour Ghislain de Pierrefeu, il convient alors de se poser la question : « ai-je de la donnée et comment la valoriser ? »

Car la donnée peut être de différents types et les algorithmes d’IA également. Ces derniers se divisent en deux catégories. La première, l’apprentissage supervisé qui consiste à développer un modèle prédictif en fonction des données d’entrée et des résultats. La seconde, l’apprentissage non-supervisé, part de données d’entrée, divisées en sous-groupes considérés comme homogènes : « Il s’agit ici de se baser sur la donnée pour constituer des clusters et analyser les orientations trouvées, via le bon sens humain et sa compréhension du métier », explique Ghislain de Pierrefeu.


De l’exploration à l’exploitation
de l’IA pour la Supply Chain

D’un point de vue pratique, ces algorithmes d’IA impactent positivement la gestion de la supply chain : sur la data, les prévisions de la demande, la stratégie commerciale mais aussi le réapprovisionnement des stocks, la partie supervision ou bien encore l’aspect prédictif. Venu étayer le propos de façon concrète, Ivan Baturone, responsable innovation Supply Chain chez Michelin, a notamment présenté le développement de SAAM (Stock Analysis & Alerting Machine), un outil consistant « à traiter le tsunami de datas supply chain pour la distribution de nos produits depuis nos usines vers nos entrepôts commerciaux. Nous avons développé des algorithmes de machine learning pour nous aider à détecter trois semaines avant une rupture de stocks d’un article sur un point de distribution. In fine, le Graal serait d’atteindre une supply chain qui s’auto-analyse et s’auto-régule ». Ainsi, sur 2019, grâce à SAAM, Michelin a notamment augmenté sa disponibilité « produit » de 7 points.


Un radar, un panorama et des échanges
autour de l’IA appliquée à la Supply Chain

Pour parvenir à atteindre ce niveau de maturité, comprendre l’IA et ses bénéfices, de nombreuses solutions sont disponibles sur le marché. Le radar établi par Wavestone et France Supply Chain a justement été créé pour donner un aperçu de ces dernières. Parallèlement, le Lab Digital de France Supply Chain, à l’origine de ce webinar, publiera très prochainement son panorama de la digitalisation 2020/2021.

Il est d’ailleurs toujours temps de répondre à l’enquête sur le site de l’association avant la publication des résultats le 17 novembre prochain à l’occasion du Supply Chain Event.

Deux webinars se tiendront par ailleurs, le premier en novembre pour sur le RPA (Robotic Process Automation) avec la participation de Michelin et le second en décembre, mené par Daher autour de la Supply Chain Innovation.

SAP Digital Supply Chain & Industry 4.0 Experience weeks

SAP Digital Supply Chain
& Industry 4.0
Experience weeks

Du 9 octobre au 30 novembre

4 semaines d’expérience digitale


Aujourd’hui plus que jamais, l’industrie est sous tension. Les entreprises qui résistent le mieux à la crise actuelle – et qui seront les mieux armées face aux défis à venir – sont celles qui ont su mettre en œuvre des technologies innovantes. Du 9 octobre au 30 novembre, découvrez les opportunités qu’offrent les nouvelles solutions et technologies intelligentes.

 

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Le 1er guide des formations supply chain en France 2020-2021

Sous la direction de Xavier DERYCKE, Directeur Supply Chain Europe du Groupe REXEL, France Supply Chain by Aslog a construit ce guide en collaboration avec de nombreuses écoles.

Nous présentons au fil des 68 pages du guide :

  • 49 cursus généralistes
  • 56 cursus spécialisés
  • 44 écoles référencés

Un outil conçu spécifiquement pour les entreprises et les recruteurs :

Différentes entrées pour faciliter la recherche

par formation Supply Chain généraliste ou spécialisée ;

par fonction supply chain recherchée lors du recrutement ;

par lieu géographique ;

Une grille de lecture commune pour faciliter la comparaison

Le niveau
de diplôme

La durée de la formation

Le nombre d’heures d’enseignement

Les modalités de l’alternance

La pratique de l’anglais

Le coût de la formation

Ériger la Supply Chain comme force vitale de la transformation

Parce que la Supply Chain se transforme, l’ASLOG opère sa mue et devient France Supply Chain by Aslog. Des mots simples mais représentant avec exactitude la mission que l’association porte depuis maintenant près de 50 ans : représenter la Supply Chain, force vitale de la transformation, et ceux qui la font.

Du haut du 19e étage de la tour SAP située à Levallois-Perret (92), Fabrice Lundy, chroniqueur économique, trois membres du comité de direction de l’ASLOG : – Yann de Feraudy, son Président, Stéphanie Rott, Directrice production et Supply Chain du Groupe LVMH et Pierre Martin Huet, Directeur Groupe Supply Chain de Michelin -, se réunissent pour un échange inédit : le Supply Chain Day.

Nous sommes le 10 septembre 2020. Le monde vit, depuis plusieurs mois un épisode de crise sans précédent. Entré dans un « monde VUCA (Volatilité, Incertitude, Complexité et Ambiguïté) », comme le rappelle Yann de Feraudy, les entreprises vivent une incertitude multiple, à la fois géopolitique, stratégique et climatique, poussant à prendre des décisions justes et efficientes.

« La crise agit comme un révélateur. La Supply Chain, par nature transverse, est en interaction avec l’ensemble des autres activités de l’entreprise donc à même de mettre en œuvre la collaboration et l’alignement des objectifs. En ce sens, elle est un levier pour un monde durable »
démontre Stéphanie Rott.

Ainsi, dans cet environnement nouveau, la Supply Chain et ceux qui la font ont fait montre de toute leur importance. Après plusieurs mois de réflexion et d’actions concrètes, l’heure est à la transformation. Une transformation profonde de la part des entreprises mais également un changement intrinsèque pour l’association : un nouveau nom, symbole de sa montée en puissance et de la poursuite de ses ambitions pour le secteur.


De l’ASLOG à France Supply Chain

« Cette appellation dit mieux qui nous sommes, rappelle notre marque, cette vieille dame reconnue, et porte haut et fort nos couleurs », affirme fièrement Yann de Feraudy. Ces nouveaux nom et logo se veulent ainsi le symbole d’une évolution porteuse de sens, qualifiée de « volcanique » par Pierre-Martin Huet mais qui ne bouleversera cependant pas fondamentalement l’organisation de l’association : « Nous allons faire du neuf avec de l’ancien, conserver une équipe qui gagne et poursuivre nos efforts dans les mêmes directions. La force de France Supply Chain restera l’échange d’expérience, de bonnes pratiques ainsi que la recherche de solutions », affirme Yann de Feraudy.

Un travail que l’association mène notamment au travers de ses différents LABs. Un premier dédié au digital, dont la vocation est de « guider et éclaircir », comme l’explique Jean-Marc Soulier, partenaire chez Wavestone. Use cases, méthodologies, webinars, visites, livres blancs, mais également un second Panorama de la digitalisation des entreprises sont ainsi prévus en 2021.

Côté RH, alors que vient de sortir le tout premier Guide des formations supply chain en France, trois thèmes seront mis à l’honneur pour cette année : l’attractivité, le développement des compétences ainsi que la formation.

Concernant le LAB Intralogistique, Laurent Sabatucci, directeur associé d’EOL évoque des visites et des travaux théoriques dans un souci de veille sur l’ensemble des technologies déployées au sein de l’entrepôt. Enfin, Pierre-Martin Huet, porte-parole du LAB Durable « SupplyChain4Good » insiste quant à lui sur l’importance de « l’intelligence collective pour mettre en œuvre une Supply Chain durable. Nous réunissons par exemple plusieurs chargeurs et prestataires logistiques autour de la table avec l’idée de décarboner une ligne de fret tous ensemble. Autre exemple, durant la crise Covid-19, la décision a été prise de remettre en mouvement certaines Supply Chain en difficulté, comme celle des Restos du cœur… Nous sommes donc dans le concret, pas dans un vœu pieux », souligne-t-il.


Évoluer, échanger et sensibiliser autour de la Supply Chain durable

Et c’est justement dans un souci de concret que France Supply Chain a souhaité réaffirmer ses missions et priorités pour les années à venir. Au nombre de trois, elles s’illustrent par une volonté de sensibiliser à l’aspect stratégique et vitale de la Supply Chain – « Il faut être présents auprès des comités de direction et influer avec les formateurs et les pouvoirs publics », précise Yann de Feraudy ; de faire progresser le secteur mais également de faire évoluer ses concepts.

« France Supply Chain est un forum d’échanges dans lequel nous apprenons des uns des autres. Notre conviction profonde réside dans la performance pour un monde plus durable dans une logique end-to-end, des fournisseurs de nos fournisseurs jusqu’aux clients de nos clients. »

Et cette conviction infuse au cœur des organisations et des entreprises. Pour preuve, Gerald Karsenti en personne, président de SAP, venu annoncer l’entrée prochaine de l’éditeur au sein de l’association. Car à mesure que la Supply Chain gagne en visibilité, le réseau de France Supply Chain s’étoffe, fédérant d’ores et déjà 450 entreprises de toutes tailles (grands groupes, ETI et PME) et de tous secteurs d’activité. « Pour l’avenir, nous entendons entretenir notre énergie, la canaliser au travers de nos LABs et continuer à avancer sur cette route de la Supply Chain comme levier de transformation pour un monde plus durable », poursuit le président de France Supply Chain. « Apprendre plus vite et ensemble, tel est l’objet de France Supply Chain », conclut Stéphanie Rott.

L’ASLOG MATERIALISE SES NOUVELLES AMBITIONS AVEC UN NOUVEAU NOM : FRANCE SUPPLY CHAIN

Dans un monde de plus en plus complexe, les acteurs de la Supply Chain, réunis au sein de l’ASLOG, entendent affirmer le rôle stratégique de la Supply Chain pour en faire un levier en faveur d’un monde plus durable. Pour appuyer ces nouvelles ambitions, l’ASLOG change de nom et devient FRANCE SUPPLY CHAIN. Diminution de l’empreinte carbone, digitalisation,
compétences… l’association s’appuie sur la puissance de l’intelligence collective et ses LABs pour permettre à tous les acteurs de la Supply Chain de répondre aux défis d’aujourd’hui et
de demain.

LA SUPPLY CHAIN, LE SYSTÈME NERVEUX DE L’ENTREPRISE

Véritable levier de la performance des entreprises, la Supply Chain représente aujourd’hui 60 à 90% du coût de revient des produits. Elle concerne aussi bien l’aval que l’amont du cycle du produit : achats, approvisionnements, production et qualité, expérience client. À cela
s’ajoute des fonctions de conception (stratégie industrielle, design des flux) et de pilotage (stocks et flux, gestion de la demande in et out). Elle capte l’information partout dans le monde pour nourrir des prises de décisions rapides et alignées. Véritable système nerveux de l’entreprise, elle va bien au-delà de la logistique et la grande majorité des responsables Supply Chain sont désormais au Comex des grands groupes.

LA SUPPLY CHAIN POUR CHANGER LE MONDE

La pandémie de la Covid 19 et les incertitudes qui en découlent sont venues s’ajouter aux défis permanents auxquels les entreprises sont confrontées : consommateurs de plus en plus exigeants sur les délais, les prix, le respect de l’environnement ; approvisionnement bouleversé des ressources naturelles dû au changement climatique ; rythme accéléré des
innovations technologiques…

Tous les acteurs de la Supply Chain réunis au sein de l’association ont ainsi défini une nouvelle ambition commune : la Supply Chain pour changer le monde. Elle s’appuie sur cinq convictions phares :

Client : mettre l’expérience client au cœur des opérations.

  • Résilience : savoir anticiper les risques et gérer les crises.
  • Talents : mieux recruter, améliorer l’attractivité et les compétences.
  • Impact positif : avoir un impact sociétal et environnemental positif.
  • Collaboration : vecteur de création sur l’ensemble de la chaine, auprès de toutes les parties prenantes.

Pour s’inscrire en cohérence avec cette ambition qui forge dorénavant l’identité de l’association, les membres de l’ASLOG ont logiquement décidé de changer de nom qui devient FRANCE SUPPLY CHAIN.

Yann de Feraudy, Président de FRANCE SUPPLY CHAIN précise :

FRANCE SUPPLY CHAIN et ses membres veulent contribuer à transformer les entreprises en construisant des Supply Chain plus résilientes, plus agiles, plus connectées, plus respectueuses des personnes et de la planète. C’est en s’engageant ainsi, avec les femmes et les hommes de la Supply chain, que nous répondrons à l’urgence de rendre notre monde plus durable pour le consommateur et les nouvelles générations

AIDER À LA TRANSFORMATION DES ENTREPRISES

FRANCE SUPPLY CHAIN fédère d’ores et déjà 450 entreprises de toutes tailles (grands groupes, ETI, PME) et de tous secteurs d’activité, regroupant au total 3 000 collaborateurs, et accueille également des prestataires pour couvrir tous les aspects de la Supply Chain.
Pour accompagner les entreprises à se transformer, elle utilise son atout : la force du réseau et la puissance de l’intelligence collective.
Concrètement FRANCE SUPPLY CHAIN permet notamment à ses membres d’échanger des bonnes pratiques au sein de ses LABs, groupes de travail abordant des thèmes majeurs transversaux, comme par exemple :

  • Le LAB Digital (animé par François MARTIN-FESTA de Schneider Electric). Ce groupe travaille sur 5 thématiques fortes : Intelligence artificielle, Échange de données, Processus de robotisation (RPA), Objets connectés (IOT) et Innovation dans la Supply Chain. Ces sujets sont abordés lors de rencontres, webinar ou encore des visites de site avec des témoignage d’une ou deux entreprises qui présentent des cas d’usages. Parallèlement, un Panorama de la digitalisation 2019-2020 a pu être dressé suite à uneenquête auprès des entreprises. Il sera mis à jour tous les ans.
  • Le LAB RH (animé par Xavier DERYCKE, Directeur Supply Chain Europe du Groupe REXEL et Philippe RAYNAUD). Conscients que l’attractivité des métiers, le développement des compétences et la formation sont les priorités RH des entreprises (enquête menée en 2019-2020), le LAB RH propose de nombreux outils pour valoriser la Supply Chain :

  • En 2019, a été publié le Panorama des acteurs de la Supply Chain (réalisé en collaboration avec des associations et unions professionnelles) pour faire connaitre les métiers de la Supply Chain à travers des exemples et des fiches métier.
  • En 2020, FRANCE SUPPLY CHAIN a publié le Guide des formations Supply Chain en France qui reprend 104 cursus et une quarantaine de fiches détaillées réalisées en étroite collaboration avec les écoles. D’ici la fin 2020, une publication sur les rémunérations est également prévue avec le cabinet Michael Page.
  • Le LAB Durable « SupplyChain4Good » (animé par Pierre-Martin Huet, directeur groupe Supply Chain de Michelin). Au moins 23% des émissions de gaz à effet de serre sont dues au transport de biens, un maillon au cœur de la Supply Chain. L’impact durable de la Supply Chain est tangible. Les aspects sociaux et sociétaux sont importants : pénibilité au travail, inclusions sociale, congestions dans les villes… La performance économique et en termes de service est la condition clef de succès. Pour maitriser cette équation complexe, FRANCE SUPPLY CHAIN s’est alliée avec le Movin’on Summit , le sommet mondial de la mobilité lancé par Michelin, pour créer la communauté SupplyChain4Good. Elle rassemble les managers de la Supply Chain mais aussi leurs fournisseurs (transporteurs, entrepôts…), des universités et chercheurs…SupplyChain4Good a déjà lancé le projet SC4Good vs Covid19 et d’autres chantiers sur le fret urbain, les ports…. Des expérimentations sont en cours ainsi que des coopérations transversales, par exemple pour diminuer collectivement les émissions de carbone sur des axes à forts trafic en Europe.

A propos de France Supply Chain

Dans un monde de plus en plus complexe, faire de la Supply Chain un levier pour un monde plus durable est un enjeu essentiel pour toutes les entreprises. C’est pourquoi France Supply Chain apporte des solutions pertinentes à tous les acteurs de la Supply Chain, grâce à son réseau de 450 entreprises affiliées et une démarche reposant sur l’intelligence collective.

Contact presse : CLC Communications

Gilles Senneville et Célia Forest
Tél. 01 42 93 04 04
g.senneville@clccom.com / c.forest@clccom.com

Guide de l’Intralogistique en France 2020-2021

Fruit d’une collaboration entre EOL, spécialiste de l’immobilier d’entreprise et de France Supply Chain by Aslog 1er réseau français des professionnels de la Supply Chain, le livre blanc de l’Intralogistique s’adresse à tous les professionnels en recherche de solutions logistiques mécanisées, robotisées et automatisées.

UN PANORAMA DES SOLUTIONS LOGISTIQUES MÉCANISÉES ET ROBOTISÉES AU SEIN DES ENTREPÔTS LOGISTIQUES

Ce guide s’articule autour de 5 axes :

  • L’état de l’art en matière d’intralogistique;
  • Les enjeux et les limites de la mécanisation et de la robotisation;
  • Les prospectives dans le domaine;
  • Les facteurs clés de succès pour mener à bien un projet d’intralogistique;
  • L’impact de l’intralogistique sur les entrepôts.

« LES NIVEAUX DE COMPLEXITÉ DES OPÉRATIONS LOGISTIQUES, ASSOCIÉS AUX ORGANISATIONS DES VENTES OMNICANALES ONT UN IMPACT TRÈS FORT SUR LA PROFITABILITÉ DES ENTREPRISES, LES OBLIGEANT À REPENSER EN PROFONDEUR LEURS ORGANISATIONS ET LEURS PROCESS LOGISTIQUES.» SOULIGNE YANN DE FERAUDY, PRÉSIDENT DE FRANCE SUPPLY CHAIN.

LE GUIDE DE L’INTRALOGISTIQUE EST RÉSERVÉ À NOS SEULS ADHÉRENTS.

L’IA APPLIQUÉE À LA SUPPLY CHAIN — ÉTAT DES LIEUX – USE CASE – RADAR WAVESTONE

L’IA appliquée à la Supply Chain — État des lieux – Use Case – Radar Wavestone

LE 30 SEPTEMBRE 2020

11h00 – 12h15


Sur la base du travail des experts Wavestone et des retours d’expérience des membres du Lab Digital de L’ASLOG, nous nous proposons un webinar en 4 axes :

  • L’état de l’art en matière d’IA
  • Un radar des acteurs de solution IA
  • Une mise en lumière de l’IA appliquée à la Supply Chain
  • Des cas d’usage concrets en Supply Chain

S’inscrire

Global Women Supply Chain Leaders Awards 2020

Global Women Supply Chain Leaders Awards 2020

22 – 24 SEPTEMBRE 2020


Encore trop peu nombreuses, en deux ans, le nombre de femmes à occuper des postes de direction en Supply Chain a augmenté de 100%.

GWSCL 2020  est le premier événement mondial à mettre en lumière le dévouement, la passion et les histoires de réussite incroyables des femmes dans la chaîne d’approvisionnement – dans tous les domaines et du monde entier.

France Supply Chain est partenaire de cet événement.

Participez

SUPPLY CHAIN EVENT

SUPPLY CHAIN EVENT

LE 8 & 9 décembre 2020

exclusivement en ligne

Porte de Versailles – 5.1


L’édition 2020 se tiendra en décembre à Paris Porte de Versailles. À cette occasion, avec notre partenaire et membre Wavestone, nous animerons une conférence relative à la DATA EXCHANGE APPLIQUÉE À LA SUPPLY CHAIN.

 

Plus d’information très prochainement.

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