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Live WEBINAR «France Supply Chain International», WELCOME TO AFRICA

Live WEBINAR « France Supply Chain International »
WELCOME TO AFRICA

LE 21 JANVIER 2021

17h30 — 18h30


Dans une économie mondialisée, France Supply Chain et les entreprises qu’elle représente, joue un rôle majeur sur la scène internationale. Pour cela, France Supply Chain se doit de développer son réseau sur les principales régions économiques du monde et d’entretenir des liens étroits avec de grands acteurs institutionnels sur ces différents territoires.

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Ce Live webinar « WELCOME TO AFRICA » est la 1re étape de notre déploiement à l’International.

L’Afrique est souvent citée à juste titre comme une terre d’opportunités et donc un marché à questionner pour toute entreprise en quête de développement. Néanmoins le sujet est difficile à qualifier, car les modèles commerciaux et opérationnels sont en réalité, assez méconnus des dirigeants.

Les réalités africaines sont connues au travers de lieux communs dispensés par les médias « classiques » ou par les points de vue, d’organisations telles que MEDEF Afrique, CIAN,…, très orientées macro-économie, environnement réglementaire et stratégies institutionnelles.

Pas si simple de trouver une approche équilibrée entre un “afro-optimisme” teinté souvent de naïveté et un “afro pessimisme” teinté quant à lui trop souvent d’arrogance.

Tous les acteurs s’accordent sur un point : le déploiement de solutions B2C/B2B est impossible à « copier/coller » depuis les modèles matures occidentaux. Leur dimension de globalisation, à partir de l’exemple du développement ces 25 dernières années de l’Asie du Sud Est, est inadapté.

À côté de l’aspect « stratégie de développement commercial », il y a une réelle nécessité de mise en commun des modèles d’opérations supply chain et logistiques très spécifiques.

Les « chapters Afrique » permettront d’amener cette dimension.

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Live WEBINAR «France Supply Chain International», WELCOME TO AFRICA

Live WEBINAR « France Supply Chain International »

WELCOME TO AFRICA

LE 21 JANVIER 2021

17h30 — 18h30


Dans une économie mondialisée, France Supply Chain et les entreprises qu’elle représente, joue un rôle majeur sur la scène internationale. Pour cela, France Supply Chain se doit de développer son réseau sur les principales régions économiques du monde et d’entretenir des liens étroits avec de grands acteurs institutionnels sur ces différents territoires.


Ce Live webinar « WELCOME TO AFRICA » est la 1re étape de notre déploiement à l’International.

L’Afrique est souvent citée à juste titre comme une terre d’opportunités et donc un marché à questionner pour toute entreprise en quête de développement. Néanmoins le sujet est difficile à qualifier, car les modèles commerciaux et opérationnels sont en réalité, assez méconnus des dirigeants.

Les réalités africaines sont connues au travers de lieux communs dispensés par les médias « classiques » ou par les points de vue, d’organisations telles que MEDEF Afrique, CIAN,…, très orientées macro-économie, environnement réglementaire et stratégies institutionnelles.

Pas si simple de trouver une approche équilibrée entre un “afro-optimisme” teinté souvent de naïveté et un “afro pessimisme” teinté quant à lui trop souvent d’arrogance.

Tous les acteurs s’accordent sur un point : le déploiement de solutions B2C/B2B est impossible à « copier/coller » depuis les modèles matures occidentaux. Leur dimension de globalisation, à partir de l’exemple du développement ces 25 dernières années de l’Asie du Sud Est, est inadapté.

À côté de l’aspect « stratégie de développement commercial », il y a une réelle nécessité de mise en commun des modèles d’opérations supply chain et logistiques très spécifiques.

Les « chapters Afrique » permettront d’amener cette dimension.

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3e édition du baromètre «Services à la livraison : réalités sur les attentes des Français»

Une étude SprintProject, en partenariat avec DB Schenker, FM Logistic, GS1-France, Savoye et réalisée par OpinionWay.

Depuis 3 ans, SprintProject, en partenariat avec DB Schenker, FM Logistic, GS1-France, Savoye et OpinionWay réalise son baromètre annuel «Services à la livraison : réalités sur les attentes des Français». Cette étude menée auprès d’un échantillon de 2000 personnes, permet d’analyser de manière qualitative et quantitative, l’évolution des usages et attentes des Français en matière de services à la livraison.

Cette année, le baromètre reflète l’évolution des comportements pendant la pandémie, notamment sur l’achat en ligne de produits alimentaires, en hausse de 7 points par rapport à 2019. Les magasins ont également proposé plus de livraison à domicile pour limiter le risque de contamination, ce qui a impacté la fréquence des commandes, en hausse de 4 points par rapport à 2019.

La question qui se pose maintenant est la suivante :

Ces nouveaux comportements d’achat vont-ils s’inscrire dans la durée ou va-t-on revenir à des habitudes d’avant confinement ?

Dans la lignée des années précédentes, le prix de la livraison reste le critère clé de l’achat en ligne, suivi du délai et des modalités de retour. En ce qui concerne les différents modes de livraisons, on constate une hausse de l’utilisation des nouveaux modes de livraison comme la livraison en mobilité, en consigne ou en casier réfrigéré. Les entreprises sont également plus transparentes sur les suivis de livraison en temps réel.

À noter cette année : les mauvaises expériences de livraison sont en baisse significative. 54% des sondés disent avoir été confronté à un problème de livraison au cours des 12 derniers mois. C’est 8 points de moins qu’en 2019 et 13 de moins qu’en 2018.

Enfin, la majorité des français reconnaissent les bénéfices économiques de la livraison à domicile mais cela soulève également 2 autres points : la congestion urbaine et l’impact sur l’environnement.


Pour en savoir plus :

Contact Commercial
Eymeric de Pelleport
VP Sales
e.depelleport@sprint-project.com
06 31 16 40 11

Contact Communication
Coralie LOUBOUTIN
Responsable Communication
c.louboutin@sprint-project.com
07 88 17 88 05

Roi de la Supply Chain : les 8 finalistes de l’opus 2021 ont été sélectionnés

Sur 19 dossiers, le Jury composé de Directrices et Directeurs Supply Chain a désigné les 8 finalistes pour 2021.
En 2020, MG2+ gagnant des Rois de la Supply Chain a été accompagné et soutenu par France Supply Chain, pour défendre ses couleurs aux ELA Awards. Le projet y a remporté le prix de « La meilleure présentation ».

Cette année encore, France Supply Chain, partenaire de Supply Chain Magazine et membre fondateur de l’ ELA soutiendra le gagnant des Rois de la Supply Chain au niveau européen.

Tous ces projets sont résolument tournés vers l’innovation, l’optimisation et le développement durable. De beaux projets à suivre et à promouvoir avec fierté.

Pour un réveil écologique enquête sur les engagements écologiques des entreprises du luxe et des cosmétiques

Nous étions les premiers à leur donner la parole lors des RISC 2019 : la Supply Chain pour une satisfaction durable et responsable, après le lancement de leur manifeste « Pour un réveil écologique » en septembre 2018. Aujourd’hui ce collectif « Pour un réveil écologique » publie les résultats d’une enquête sur les engagements écologiques de quatre grands groupes français du secteur du luxe et des cosmétiques : L’Oréal, LVMH, Kering et Rocher.

Avec plus de 30000 signataires pour leur manifeste, ce n’était que le point de départ pour le collectif. L’envie des étudiants et jeunes diplômés, de travailler pour un employeur responsable écologiquement et socialement, est encore plus forte dans le contexte actuel. Le collectif a donc enquêté sur les engagements écologiques de grands groupes français par le biais d’un questionnaire. L’objectif est de faire un état des lieux des politiques écologiques mise en place et les comparer pour chaque secteur. Ils ont également pu compter sur la coopération de professionnels pour compléter leur enquête.

Quatre enseignements principaux ressortent de l’examen des stratégies environnementales des groupes L’Oréal, LVMH, Kering et Rocher :

La réduction de l’impact écologique est certes extrêmement importante pour la préservation de l’environnement, l’intérêt financier reste encore le premier facteur déclenchant de la démarche

Certains groupes mettent au point des outils d’évaluation d’impact mais leur portée reste assez faible. Les actions peu couteuses sont privilégiées face à un changement drastique de la politique de l’entreprise

La formation des collaborateurs sur les enjeux écologiques est encore trop peu mise en avant

Le secteur du luxe et de la cosmétique possède un avantage avec des savoir-faire régionaux et l’utilisation de matière première responsable

Retrouvez l’étude « LES GRANDS GROUPES DU SECTEUR DU LUXE ET DES COSMÉTIQUES SONT-ILS À LA HAUTEUR DE L’URGENCE ÉCOLOGIQUE ? » en détail sur le site du collectif « Pour un réveil écologique ».

L’ASLOG, le Club Déméter et l’Institut du Commerce créent E.VO.L.U.E

Les trois organisations militantes souhaitent collaborer à la structuration d’un engagement pragmatique pour une logistique urbaine efficiente orientée vers la Smart City.

Une meilleure efficacité doublée d’une plus grande représentativité sont les deux ambitions de cette collaboration. L’ASLOG, le Club Déméter et l’Institut du Commerce partagent le même constat : la distribution urbaine représente un enjeu majeur tant pour les pouvoirs publics que pour les acteurs économiques. Il y a urgence à structurer les démarches participatives qui associent ces deux parties prenantes pour développer des modèles efficients, tant sur le plan des opérations et de l’empreinte environnementale, que sur le plan de la réalité économique. Les trois instances s’unissent autour d’un même objectif : un modèle de logistique urbaine RSE.

Cette dynamique a été baptisée EVOLUE, soit Engagement VOlontaire pour une Logistique Urbaine Efficiente. Un engagement volontaire qui n’est donc pas figé et qui a pour ambition de fusionner les énergies des trois organisations et de mobiliser ses membres avec efficacité. L’objectif est de pouvoir construire des passerelles avec des territoires afin de déployer des solutions responsables.

La démarche EVOLUE va se nourrir des initiatives qui existent au sein de l’ASLOG, de l’Institut du Commerce ou du Club Déméter qui travaillent déjà sur le sujet. Réunir les travaux et parler d’une seule voix tend à rendre aussi plus crédible chacune des démarches à venir.

Les 4 leviers pour la mise en œuvre de solutions concrètes :

Data & Optimisation

Organisation de la chaîne d’approvisionnement

Moyens opérationnels & humains

Espaces de livraisons / infrastructures

Les étapes de mise en œuvre :

CONNAÎTRE : collecter des données afin d’avoir en priorité une base de connaissance sur le territoire étudié

AGIR : suggérer des expérimentations et les valoriser sur l’ensemble des externalités négatives connues : GES, polluants, bruit, accidentologie, congestion

COMPRENDRE :analyser les données, faire émerger les pistes potentielles en lien avec le territoire (collectivités, acteurs locaux, etc.)

PÉRENNISER : structurer un cadre d’engagement qui permet à la collectivité de reconnaitre les efforts entrepris par les opérateurs, les donneurs d’ordre et les prestataires vertueux

L’intralogistique au service de la performance

Le 17 octobre dernier, la commission Intralogistique a organisé, en partenariat avec le Grand Paris Sud, une journée de partage des meilleures pratiques en matière d’intralogistique.

La matinée a été ponctuée de conférences de divers intervenants :

  • Isabelle HAUTANT, Directrice et Pierre VEYER, Manager chez Argon Consulting
  • Vincent RICCI, Business Development Director, Supply Chain France, XPO Logistics
  • Justine BAIN-THOUVEREZ, avocate spécialisée en droit de l’énergie pour LLC Avocats & Associés
  • Franck LAMAS, Directeur R&D bâtiments logistiques au groupe IDEC

Les échanges se sont poursuivis l’après-midi par deux visites de sites : Sarenza et Showroom Privé.


L’automatisation,
au service du e-commerce

L’intralogistique est au cœur du développement du e-commerce. Les activités de picking pour des commandes individuelles sont beaucoup plus complexes que pour les commandes traditionnelles à la palette. L’automatisation influe tout particulièrement sur l’atteinte des performances.

L’augmentation capitalistique qui accompagne les projets d’automatisation conduisent à automatiser avec discernement, en sélectionnant les activités à fort enjeux sans chercher à tout automatiser. En particulier, la robotisation est appropriée pour les activités de picking et de préparation de commande en e-commerce, alors que les technologies traditionnelles sont souvent appropriées pour la logistique B2B traditionnelle (ie par palette).

Sponsorship, réalisme, implication des différents acteurs sont autant de facteurs essentiels à des projets complexes : projet d’entreprise, acteurs alignés, convictions partagées.

Un mini sondage proposé aux participants a mis en évidence les préoccupations usuellement rencontrées lors des projets d’investissement :

Qu’est-ce qui vous freine aujourd’hui pour lancer un projet de mécanisation ?


4 fondamentaux
pour une bonne implantation

Lors de sa présentation, Vincent Ricci a partagé 4 principes fondamentaux pour automatiser son entrepôt :

  • Être obsédé par la satisfaction client
  • Trouver du temps et de l’argent pour accéder aux nouvelles technologies
  • Maîtriser les data
  • Opérer les innovations

Satisfaction client

De nombreuses contraintes pèsent sur la Supply Chain pour répondre aux besoins clients, que ce soit B2B ou B2C :

Nouvelles technologies

Pour une entreprise logistique comme XPO, l’investissement dans les solutions technologiques représente 550 M$/an – ce qui reste bien moins que les investissements dans l’IT réalisés par les pure players.

La combinaison d’outils de gestion des transports (TMS) et d’entrepôts (WMS) est un must.

Utiliser la data

Les données ont un rôle central dans l’automatisation et l’optimisation des ressources, comme par exemple la captation des données via des IoT ou par l’intégration avec divers systèmes amont, combiner des données pour mieux prévoir la demande et saturer au mieux les capacités, faciliter les interactions avec les collaborateurs (mobiles) ou les robots pour bénéficier au mieux des automatismes.

Innovations

Les principales innovations portent sur des domaines tels que l’usine 4.0, les logiciels de gestion de commande, l’optimisation environnementale des emballages, automatisation des entrepôts… Il est également judicieux de faire appel à des 3PL qui ont la capacité de réaliser et rentabiliser les investissements nécessaires dans les technologies.

Avec ces solutions se profilent par exemple la réinternalisation des activités textiles à faible taux de MO, qui permettront la réalisation de petites productions au plus près pour optimiser les enjeux environnementaux.


Intégrer
la performance énergétique

Selon Franck Lamas, la performance énergétique est de plus en plus inscrite dans les entreprises, notamment avec la réglementation RT 2012-2020.

En revanche, les bâtiments vont être amené à consommer davantage, sous la contrainte du recours à l’automatisation, des recharges de véhicules électriques, de l’amélioration du confort du personnel avec des bâtiments plus éclairés, plus chauffés…

La réduction durable des consommations passe donc par un changement de politique énergétique. Les solutions performantes et durables existent, aux entreprises de mettre la performance énergétique au cœur de leurs préoccupations.

En termes d’énergies renouvelables, le photovoltaïque est très adapté aux entrepôts frigorifiques, avec un ROI même dans les régions peu ensoleillées. Cette technologie est appuyée par de nouvelles règlementations qui conduisent les entreprises à équiper leurs bâtiments de dispositifs photovoltaïques ou de toitures végétalisés. L’obligation est déjà en vigueur pour les nouvelles constructions supérieures à 1 000m²

Le chauffage représente une part croissante de la consommation des bâtiments, avec des technologies qui n’ont pas progressées depuis de nombreuses années. La géothermie est une solution très performante pour le chauffage des entrepôts avec en moyenne une diminution de 60% des consommations.

Mettre en lumière l’IA appliquée à la supply chain

Dans un monde toujours plus complexe, l’IA permet de produire des analyses et des projections suffisamment fines pour accompagner les organisations dans leur quête d’agilité. Retour sur les bases de la technologie et ses atouts pour la supply chain.

Prévision des ventes, gestion des stocks, planification, ordonnancement… Comment anticiper les fonctions vitales de la supply chain dans un environnement instable et face à une demande qui devient volatile ? Parmi les réponses apportées figurent l’intelligence artificielle et ses branches les plus connues, le machine learning et le deep learning. Mais comment fonctionnent-elles ? Quels cas d’usages peut-on dégager ? Et quelles entreprises existent sur le marché pour servir ces besoins ? Pour répondre à ces vastes interrogations, quatre experts du secteur se sont succédés le 30 septembre dernier lors d’un webinar organisé conjointement par le Lab Digital de France Supply Chain et le cabinet Wavestone.


Démystifier l’intelligence artificielle
et comprendre la donnée

Pour démystifier le sujet, il faut d’abord le comprendre. Alors, qu’est-ce que l’IA ? Selon Ghislain de Pierrefeu, partner en charge du Machine Learning Data Lab chez Wavestone, il s’agit des capacités d’une machine à effectuer des tâches intellectuelles complexes auparavant spécifiques à l’Homme. Le machine learning, application de l’IA, donne quant à lui la capacité aux systèmes informatiques à prendre des décisions à partir de données apprises. Le deep learning dispose, lui, de la faculté à imiter le fonctionnement du cerveau humain dans le traitement des données et la création de modèles. Ce trio s’imbrique avec les domaines de la data science et du Big Data Analytics. Une fois ces notions intégrées, pour Ghislain de Pierrefeu, il convient alors de se poser la question : « ai-je de la donnée et comment la valoriser ? »

Car la donnée peut être de différents types et les algorithmes d’IA également. Ces derniers se divisent en deux catégories. La première, l’apprentissage supervisé qui consiste à développer un modèle prédictif en fonction des données d’entrée et des résultats. La seconde, l’apprentissage non-supervisé, part de données d’entrée, divisées en sous-groupes considérés comme homogènes : « Il s’agit ici de se baser sur la donnée pour constituer des clusters et analyser les orientations trouvées, via le bon sens humain et sa compréhension du métier », explique Ghislain de Pierrefeu.


De l’exploration à l’exploitation
de l’IA pour la Supply Chain

D’un point de vue pratique, ces algorithmes d’IA impactent positivement la gestion de la supply chain : sur la data, les prévisions de la demande, la stratégie commerciale mais aussi le réapprovisionnement des stocks, la partie supervision ou bien encore l’aspect prédictif. Venu étayer le propos de façon concrète, Ivan Baturone, responsable innovation Supply Chain chez Michelin, a notamment présenté le développement de SAAM (Stock Analysis & Alerting Machine), un outil consistant « à traiter le tsunami de datas supply chain pour la distribution de nos produits depuis nos usines vers nos entrepôts commerciaux. Nous avons développé des algorithmes de machine learning pour nous aider à détecter trois semaines avant une rupture de stocks d’un article sur un point de distribution. In fine, le Graal serait d’atteindre une supply chain qui s’auto-analyse et s’auto-régule ». Ainsi, sur 2019, grâce à SAAM, Michelin a notamment augmenté sa disponibilité « produit » de 7 points.


Un radar, un panorama et des échanges
autour de l’IA appliquée à la Supply Chain

Pour parvenir à atteindre ce niveau de maturité, comprendre l’IA et ses bénéfices, de nombreuses solutions sont disponibles sur le marché. Le radar établi par Wavestone et France Supply Chain a justement été créé pour donner un aperçu de ces dernières. Parallèlement, le Lab Digital de France Supply Chain, à l’origine de ce webinar, publiera très prochainement son panorama de la digitalisation 2020/2021.

Il est d’ailleurs toujours temps de répondre à l’enquête sur le site de l’association avant la publication des résultats le 17 novembre prochain à l’occasion du Supply Chain Event.

Deux webinars se tiendront par ailleurs, le premier en novembre pour sur le RPA (Robotic Process Automation) avec la participation de Michelin et le second en décembre, mené par Daher autour de la Supply Chain Innovation.

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